Comme promis, je réponds à la question posée par José.  Je vous prie de trouver dessous le détail de chaque étape du travail que j'ai effectué pour la décoration des  bougies serviettées :

Voici ci-dessous les deux bougies sans aucune décoration ! 

J'ai étalé de la peinture d'apprêt blanche, à l'endroit où je désire apposer les  motifs. 

Là c'est la place des motifs principaux !

 Et là c'est le dos de la bougie pour des petits motifs, tout dépend de mon inspiration du moment. Quelque fois il n'y a aucun motif au dos.

Ici , en dessous, quelques motifs, de serviettes, sont en partie collés (j'emploie du vernis colle).

Et là les deux bougies terminées : 

Vous remarquerez que sur la bougie foncée (la couleur exacte de la bougie est framboise, n'ait pas reproduite, dommage), j'y ai mis de la couleur verte vers le bas et vers le haut, c'est de la peinture dorée.

En ce qui concerne la bougie jaune, j'ai appliqué de la peinture verte et d'un peu de blanc.

Le tout a été vernis par mes petites mains adroites (hum).

J'en ai d'autres en préparation et elles sont toutes plus belles les unes que les autres. Il y en certaines qui sont toutes simples.

J'ai aussi fait l'essai d'en faire brûler une, elle brûle comme une bougie normale.

Je pense avoir fait le tour de la conception. 

Alors José, est-ce clair comme explications ou as-tu d'autres questions à posées ?

Suite :

Le vitrier :

Son crochet sur l'épaule, le vitrier guette le signe qui lui indique qu'un carreau est à remplacer.

Hélas ! On ne l'appelle pas souvent, car à une vitre brisée, les gens économes substituent un morceau de papier huilé :

      "ça durera c'que ça durera".

Le vitrier se console en fredonnant :

"Encore un carreau cassé... v'la l'vitrier qui passe... encore un carreau d'cassé... v'la l'vitrier passé".

Source : La vie rurale dans le Mantois et le Vexin au 19ème siècle.

Voici une recette de dessert diététique :

Crème de citron aux bananes

Ingrédients pour 8 personnes :

1 litre de lait écrémé ou demi écrémé

6 oeufs

2 citrons (garder 4 rondelles pour la présentation)

4 cuillères à café bombées de maïzena

Vanille ((extrait liquide (2 cuillères à café) ou gousse))

8 sucrettes (édulcorant) ou liquide (1 cuillère à café)

3 bananes

Préparation :

Dans une casserole, faire chauffer le lait avec la vanille.

Couper le citron (garder 4 rondelles pour la présentation), presser le reste du jus et dissoudre la maïzena dans ce jus.

Dans un saladier, battre énergiquement les oeufs en omelette.

Y incorporer le lait bouillant, en un mince filet, tout en continuant de battre.

Ajouter l'édulcorant.

Ajouter la maïzena au citron. Bien mélanger.

Couvrir le fond d'un plat à four, de rondelles de bananes. Verser la préparation par dessus et faire cuire à four chaud environ 25 minutes.

A mi cuisson, disposer 4 rondelles de citron sur le dessus.

Laisser refroidir et maintenir ensuite au réfrigérateur.

Cette recette a été concue avec l'aide d'une diététicienne

Suite cartes portales :

1905 - Saint-Tropez - quai de Suffren

Paysage et village           Belle Epoque

______________________________________

Le port de Saint-Tropez

En ce début de siècle, le port autrefois florissant de Saint-Tropez joue la belle endormie.

Au milieu du XIX siècle, Saint-Tropez était le 17ème port marchand de France.

Mais, 50 ans plus tard, le trafic marchand a diminué de deux tiers tandis que la population stagne.

Etape obligée dans le commerce entre l'Italie (Gênes), la France (Marseille) et l'Espagne (Barcelone), c'est un port de cabotage.

Les chantiers navals de la baie des Canoubiers continuent à construire bateaux traditionnels comme la "pinque" et la "tartane", mais se rappellent le temps où l'on bâtissait des trois-mâts, des bricks et des goélettes.

Une vue pittoresque...

Depis 1866, le port dominé par l'imposant profil du Bailli de Suffren, Tropézien qui commanda la flotte de Louis XVI.

En 1905, le port est le motif des premiers peintres à découvrir la cité:

 - Signac, Matisse, Bonnard, Manguin, Marquet...

Bombardé par les Allemands en 1944, il sera reconstruit à l'identique.

Sur cette vue du quai Suffren, on distingue au fond le porche qui ouvre sur le marché au poisson. Ici, on pratique alors le Grand Art (la pêche au large), le Petit Art (pour le maquereau), l'Art Menu (les poissons de roche) et la pêche à la madrague pour le thon. Les huîtres  des Canoubiers et le corail de La Mouette complètent les ressources de la mer.

                           *    *   *   *   *

La "Pouncho"

Refuge des pêcheurs locaux, le quartier de la Ponche - la "pointe" en provençal - est plein de cachet, avec ses plaquettes minuscules, son lavoir et ses plages.

Le 31 juillet à la Saint-Pierre la fête des pêcheurs se déroule au Pré des Pêcheurs.

A l'ombre d'un acacia centenaire, l'hôtel de la Ponche accuillera Sartre, Beauvoir, Grégo et Sagan.

(MMIII - Editions Atlas Impo. UE A2 - 789.03-10 Photos Roger Viollet )

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