Voici la lampe d'ambiance, toute seule, qui m'a été offerte pour mon anniversaire par un couple d'amis !

Bonsoir à tous,

Je vous mets un petit mot pour vous dire que je vais m'absenter quelques jours; vous pourrez me laisser un petit mot; Gégé me dira si j'ai eu quelques commentaires.

Je lui demanderai de vous répondre si vous voulez poser quelques questions et si vous avez besoin de quelques conseils.  Je suis à la disposition pour tout renseignement.

Alors je vous dis à bientôt.

Amitiés à tous !

                                                              Lilas

Illustrationde Miss Rebelle

Un petit peu de couture.

De petites poignées pour la cuisine qui servent à tenir les plats, couvercles ect ..

Pour préparer ces poignées vous voudrez bien prévoir de couvrir d'une sorte de feutre, que vous trouverez dans les merceries (je ne me souviens plus du nom). Vous recouvrez ce feutre de toile blanche; vous piquez tout autour et vous pouvez faire des dessins à la machine; ici j'ai utilisé les losanges. Prévoir une fois la grandeur de vos mains environ, pour une poignée.

Ensuite vos préparez, avec du joli tissu, des petites enveloppes comme les taies d'oreiller.

Voici la photo ci-dessous :

A gauche l'enveloppe que j'ai mis à l'envers. Au milieu la base. A droite le tout terminé. Je n'ai utilisé que des petites chutes de tissus.

Je tenais à soutenir les infirmières pour leur travail qui est très difficile.

C'est leur journée aujourd'hui, alors je leur dis chapeau.

Je souhaite également que les adolescents puissent accéder à ce métier qui est très beau et espérons qu'il y ait plus d'emplois de créer pour ce métier.

De temps en temps je vous présenterai des anciennes cartes postales. Le Président du club de philatélie me les a prêtées. Au dos de ces cartes postales figure un texte que je vous mettrai en dessous de chaque illustration.

Certaines seront de travers mais je n'ai pas encore trouvé le moyen de remédier à cet état de fait, j'espère que vous me pardonnerez.

1900 - Famille bretonne

Coutumes, fêtes et mode                               Belle Epoque

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La Bretagne doit lutter pour conserver sa culture et ses traditions au sein de la République.

Je me souviens de ma grand-mère bretonne née dans le Pays Gallo, tout près de la fôret de Brocéliande. C'est là que les récits anciens situent les aventures des Chevaliers de la Table ronde :

"Arthur, Merlin l'enchanteur, les fées Viviane et Morgane hantent encore ces lieux magiques".

C'est en 1514 que le duché de Bretage est devenu français.

On a continué à parler le breton, langue d'origine celte. Si le long des côtes on est d'abord marin ou pêcheur, à l'intérieur de la Bretagne les paysans connaissent de rudes conditions de vie sur des terres pauvres. La ferme est souvent formée d'une seule pièce que, l'hiver, ses habitants partagent avec les animaux.

L'école de la République :

Au début de XXème siècle, les enfants apprennent le français à l'école de Jules Ferry, mais à la maison on parle le breton ou le gallo.

Les enfants vont à l'école en sabots, parfois il faut marcher plusieurs kilomètres.

Les femmes portent des coiffes. En dentelle amidonnée, elles sont plus ou moins hautes selon les régions.

Les petites filles portent plutôt des bonnets.

De nos jours, les écoles Diwan enseignent aux enfants à la fois en breton et en français, permettant une renaissance de la culture bretonne.

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Per Jakez Helias

Né en Pays Bigouden en 1914, Per Jakez Helias a longtemps été instituteur.

Les récits qu'il a rapportés en breton et en français, il les a entendus enfant de son grand-père qui était conteur. En 1975, il fait paraître son livre le plus célèbre "Le cheval d'orgueil" dans lequel il raconte son enfance.

Ce récit ethnologique fut adapté au cinéma par Claude Chabrol.

(MMIII Editions Atlas Imp. UE A2-279.01-14 Photo : Roger Viollet)